En Slovaquie, un pays relativement épargné par l’épidémie jusque-là, le ministre de l'Economie a pris position contre les mesures strictes imposées par son gouvernement. Selon lui, la lutte contre l’épidémie de coronavirus s'est transformée en « fétiche ».
« Nous ne ruinons pas notre économie en raison des 800 victimes de la grippe chaque année, mais nous le faisons en raison de 500 personnes infectées par le coronavirus ». Cette voix qui s'est élevée est celle du ministre slovaque de l'Economie, Richard Sulík, du parti Liberté et Solidarité (SaS), un parti libéral économiquement et conservateur socialement, affilié aux Conservateurs et réformistes européens dont fait partie le Droit et Justice (PiS) au pouvoir en Pologne . . .
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