Suite à la plainte avec constitution de partie civile déposée par la famille d’Ophélie Bretnacher, une information judiciaire pour "enlèvement, séquestration et meurtre" a été ouverte en France.
Un nouveau chapitre s’ouvre donc dans "l’affaire Ophélie", cette étudiante française retrouvée noyée dans le Danube le 12 février 2009, deux mois après sa disparition.
"Cette désignation va permettre de relancer de façon effective une enquête quelque peu enlisée. La famille espère du magistrat instructeur que toutes les investigations manquantes ou inachevées seront faites dans le cadre de l'entraide judiciaire avec la Hongrie. Elle est soulagée de cette relance de l'enquête qui devra permettre enfin l'émergence de la vérité sur les circonstances mystérieuses de la mort d'Ophélie", a déclaré à l’AFP l’avocat de la famille de la victime, Me William Bourdon.
La famille Bretnacher a toujours combattu avec vigueur les conclusions de la police hongroise : l’accident ou le suicide. Elle estime que toutes les investigations n’ont pas été menées et que la thèse criminelle ne peut . . .
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