Le 4 décembre dernier a marqué le premier anniversaire de la disparition d’Ophélie Bretnacher, une étudiante française à Budapest. Un an après, on ne connaît toujours pas les circonstances exactes qui ont conduit à sa mort. Son père, Francis Bretnacher, dénonce les lenteurs de la police et de la justice, en France comme en Hongrie, et continue de réfuter la thèse officielle : le suicide de sa fille.
Il y a un an, le 4 décembre 2008, aux alentours de 3h du matin, Ophélie Bretnacher, une étudiante Erasmus de 22 ans, disparaissait alors qu’elle rentrait d’une soirée dans une discothèque de Pest. Des caméras de surveillance avaient suivi sa trace jusqu’aux abords du Danube au niveau du pont Lánchíd (le pont des chaînes)… puis plus rien. Après deux mois-et-demi marqués par une intense mobilisation de ses proches et par les nombreuses fausses pistes et spéculations quant à son sort, on retrouvait le corps immergé de la jeune fille, plusieurs kilomètres en aval de Budapest, dans un bras mort du fleuve, à Csepel.
"Je suis atterré par le . . .
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