Dans les propositions annexes au deuxième grand volet de taxes proposées par Orbán au Parlement lundi, le Premier ministre et son ministre de l'Economie György Matolcsy ont émis le souhait de taxer de nombreux secteurs, plus petits que ceux déja abordés (la finance, l'énergie et les services). Le gouvernement conservateur a décidé de rester fidèle à sa réputation, en imposant plus le développement des nouvelles technologies et de la vie moderne en général. L'objectif de ces nouvelles mesures fiscales est d'économiser entre 400 et 500 milliards de forints (de 1,450 à 1,810 milliards d'euros . . .
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