« Ce n'est pas sa faute si la société tchèque n'a pas profité de la brève lueur d'espoir après 1989 ». Dans un long texte publié après la mort de l’écrivain Milan Kundera, Jakub Patočka, ancien rédacteur-en-chef du mensuel Journal littéraire, revient sur l’apport de l’auteur à la pensée politique tchèque et sur l’incompréhension des élites intellectuelles tchèques d’après-1989 . . .
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