En imputant l'attentat contre « Charlie Hebdo » à Paris le 7 janvier 2015 à l'immigration, Viktor Orbán s'est révélé, aux yeux des Hongrois et du reste du monde, comme un leader nationaliste et xénophobe.
Les attaques terroristes qui ont fait dix-sept morts, dont plusieurs membres de la rédaction du journal « Charlie Hebdo », à Paris du 7 au 9 janvier 2015, ont retentit peut-être encore plus fort en Hongrie qu'ailleurs en Europe. Le dimanche matin du 11 janvier, avant de s'envoler pour Paris où une « marche républicaine » est organisée, le dirigeant hongrois . . .
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