« Dix ans après, nous n’oublions pas les victimes des attaques contre les Roms »

Cela fait dix ans ce samedi que la série d'attaques perpétrées contre des Roms entre 2008 et 2009 faisait ses premiers morts. Il est important de se remémorer ce jour les noms de ceux qui ont péri sur l'autel de la haine et de l'extrémisme, mais aussi d'affronter ces événements comme une partie intégrante de la mémoire collective hongroise.

Les années 2008 et 2009 renvoient à une période sombre pour les Roms : des attaques armées ont été menées en neuf endroits, avec comme bilan six morts, cinq blessés graves et une blessure profonde au sein de la communauté rom de Hongrie.

Les assaillants n'ont épargné personne dans la mise en oeuvre de leurs sombres projets, en faisant irruption la nuit dans des maisons où dormaient leurs occupants, parmi lesquels des enfants et des femmes âgées.

La seule chose qui importait pour ces meurtriers, c'était que leurs victimes soient des Roms hongrois . . .

Lisez cet article gratuitement.

Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.