Dans les soirées budapestoises, les platines sont internationales

C’est une scène que David Lesniki connaît bien. Pendant de nombreuses années, il a tenté au sein de plusieurs associations de faire venir des artistes et des groupes à Budapest pour faire évoluer les goûts et permettre aux Hongrois de découvrir de nouveaux sons. «J’ai commencé en 2009, c’était très difficile à ce moment-là. Les artistes venaient à Prague ou à Vienne mais ils ne s’arrêtaient jamais en Hongrie », se souvient-il. Une situation due à un public hongrois encore peu habitué à l’ouverture, mais aussi à des propriétaires de lieux trop conservateurs. « Ils avaient peur de ne pas faire assez d’argent, que les lieux soient vides », dit David . . .

Lisez cet article gratuitement.

Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.

Aurélie Loek

Étudiante en journalisme à l'École des hautes études en sciences de l'information et de la communication « CELSA » à compter de la rentrée 2019.