« S’il faut construire quelque chose de nouveau en Europe, c’est avec la Pologne que nous commencerons »

Viktor Orbán a abordé ce matin la possible exclusion de son parti le Fidesz du PPE. Évoquant "plusieurs possibilités" quant à son avenir au sein - ou à l'extérieur - de la démocratie chrétienne européenne, le premier ministre hongrois a surtout voulu se poser en maître des horloges.
"L'Europe connait une mutation très profonde de sa vie politique. (…) Les migrations et l'immigration ont changé nos vies. C'est la question la plus importante pour l'avenir politique de l'Union européenne", a déclaré ce matin Viktor Orbán, traditionnel invité du vendredi sur Kossuth Rádió. Invité à s'exprimer sur la possible mise au ban de son parti le Fidesz du Parti populaire européen (PPE), le premier ministre hongrois a considéré qu'"une nouvelle ligne de partage a bousculé les traditionnels clivages gauche-droite (…), c'est qui soutient l'immigration, qui ne la soutient pas . . .

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Ludovic Lepeltier-Kutasi

Journaliste, correspondant à Budapest. Ancien directeur de publication et membre de la rédaction du Courrier d'Europe centrale (2016-2020) et ancien directeur de la collection "L'Europe excentrée" (2018-2020).