Jobbik ne marche pas si droit

Cette semaine, l'info hongroise était encore une fois en pleine effervescence "grâce" au parti politique d'extrême droite Jobbik.
En pleine campagne électorale, Jobbik communique beaucoup plus que son rival direct dans les sondages pour la place de dauphin au Parlement (le parti socialiste MSzP), mais ses cadres s'exposent du même coup à un effet boomerang, et les casseroles commencent à apparaître. Après la rumeur selon laquelle son leader, Gábor Vona, entretiendrait une relation extra conjugale, ce sont maintenant les mœurs festives de son porte-parole, András Király, qui font la Une des journaux. Photos et vidéos à l'appui, la blogosphère hongroise a eu sa tête en une journée, puisqu'il a immédiatement démissionné, et qu'il ne reste aucune trace de lui sur les pages officielles de Jobbik.

András Király était pourtant connu pour être un bon garçon, élevé au bon grain de la campagne de Szeged, dans une famille . . .

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