Espionnage avec « Pegasus » : le gouvernement hongrois ne nie pas

Environ 1 000 personnes ont protesté lundi dans la capitale hongroise, devant le siège du Fidesz, à la suite du scandale des écoutes téléphoniques avec le logiciel « Pegasus . . .

Lisez cet article gratuitement.

Inscrivez-vous ou identifiez-vous pour accéder gratuitement à tous les articles du Courrier d'Europe centrale.