« Si la Commission insiste pour adopter ses propositions, elle devra assumer l’entière responsabilité de l’échec historique de l’intégration européenne », a écrit Orbán à von der Leyen, selon le Financial Times.
Les négociations se poursuivent vendredi à Bruxelles pour le troisième jour consécutif pour l’adoption du sixième paquet de sanctions contre la Russie.
Plusieurs pays se montrent sceptiques quant à un embargo sur le pétrole russe qui, selon les plans de la Commission, prendrait effet d’ici la fin de l’année. Mais, selon la chaîne de télévision allemande ZDF, l’Autriche et la Slovaquie ayant retiré leurs réserves jeudi, seule la Hongrie fait encore blocage.
« Si la Commission insiste pour adopter ses propositions, elle devra assumer l’entière responsabilité de l’échec historique de l’intégration européenne », a écrit Viktor Orbán à Ursula von der Leyen, selon le Financial Times.
« Pour la Hongrie, les sanctions proposées nécessitent une expansion majeure de l’infrastructure d’approvisionnement alternative et une réorganisation complète de la capacité de production de nos raffineries », a-t-il argumenté.