Bucarest assure, au 1er janvier, sa première présidence de l’UE, dans un climat de défiance inédit avec Bruxelles.
L’événement promettait d’être un symbole de l’intégration réussie de la Roumanie à l’Union européenne (UE). Il va au contraire attirer l’attention sur les dérives du parti actuellement au pouvoir à Bucarest.
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