Dans sa chronique, Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde », observe que la trajectoire de la révolution européenne de 1989 a dévié de son cap initial.
Chronique. A ce niveau-là d’intensité sémantique, ce n’est plus une élection, c’est la guerre. Ecouter ou lire ces temps-ci Viktor Orban, le premier ministre hongrois qui mène la campagne de son parti, Fidesz, au scrutin législatif du dimanche 8 avril, c’est s’imaginer électeur à la veille du troisième conflit mondial.
Lire la suite sur lemonde.fr.