La Hongrie, un pays sous haut patronage

Viktor Orbán devrait facilement l’emporter aux élections législatives du 8 avril prochain. Székesfehérvár, sa ville natale, occupe une place à part dans le système autoritaire mis en place depuis 2010.

A 65 km au sud-ouest de Budapest, sur la route du lac Balaton, Székesfehérvár garde pour les Hongrois une aura quasi mythique. L’occupation ottomane, l’absolutisme des Habsbourg et la domination soviétique n’ont pas détruit la ville symbole de l’âge d’or magyar, résidence des rois chrétiens de Hongrie depuis Étienne 1er, siège de leurs couronnements et de leurs funérailles pendant près de cinq cents ans.

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