A Cannes, le cinéma tchèque vit sur son passé

Le 71e festival de Cannes s’est certes clos samedi dernier, mais il n’est pas trop tard pour revenir sur l’un des plus importants événements du cinéma mondial. Si le cinéma tchèque contemporain y brillait particulièrement par son absence, ce n’était pas le cas de films plus anciens, avec la projection de la version restaurée et numérisée des Diamants de la Nuit de Jan Němec ou un hommage rendu au cinéaste Miloš Forman, décédé le 13 mai dernier.

« Miloš, je le connaissais depuis son deuxième film, Les Amours d’une blonde. L’As de pique, je l’avais déjà vu, mais sans avoir fait sa connaissance. Je l’ai rencontré grâce à Claude Berri qui était son coproducteur français. […]

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