Réfugiés : Beata Szydło refuse le « chantage » de l’Europe  

La Première ministre polonaise Beata Szydło a déclaré lundi 27 mars que la politique migratoire de l'Union européenne était un échec, ajoutant que son pays ne subirait pas de chantage de la part de l’UE.
La première ministre polonaise Beata Szydło a réagi ce lundi aux propos du commissaire européen à la migration et aux affaires intérieures, Dimitris Avramopoulos, sur la gestion de la crise des réfugiés par les pays du groupe de Visegrád, alors que ce dernier avait affirmé le jour même que "plus d'excuse" n'était recevable et "plus de négociations sur le transfert des réfugiés sinon sur leur accueil" n’aurait lieu. "Le groupe de Visegrád, y compris la Pologne, n'acceptera jamais de chantage et n'acceptera pas que de telles conditions leur soient dictées" a-t-elle ainsi déclaré en marge d'une rencontre avec ses homologues tchèque, slovaque et hongrois.

Pour le commissaire européen, les quatre pays d'Europe centrale auraient fait preuve d'un manque de responsabilité dans la gestion de la crise des . . .

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Yohan Poncet

Journaliste en devenir

Membre stagiaire de la rédaction de Hulala. Correspondant basé à Budapest. En formation à l'Institut supérieur des médias de Lyon.